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Paiements

Existe-t-il des terminaux de paiement (TPE) sans commission ?

Les lecteurs de cartes de banques font partie intégrante de la vie des commerçants et entreprises, car ils servent essentiellement à encaisser les transactions par cartes bancaires. Tous ces encaissements engendrent des frais, et il est tout à fait légitime que tout entrepreneur se pose la question de s’avoir s’il existe des terminaux de paiement sans commission.

Les moyens d’acquérir ce type d’appareil sont l’achat ou la location. Cette acquisition peut être coûteuse. De plus, des frais supplémentaires peuvent être ajoutés comme les frais bancaires, la carte SIM ou les coûts d’entretiens. Les systèmes de location all-in ont l’avantage d’englober tous ces frais.

Mais, existe-t-il des terminaux de paiement sans commission ?

Non, il n’existe pas de terminaux de paiement sans commission. Sur le marché, il existe de nombreuses offres et possibilités pour les terminaux de paiement. L’acquéreur de l’appareil de paiement peut réduire les frais d’utilisation du terminal, mais il ne peut pas éliminer tous les coûts. Il faut entre autres savoir que chaque fois qu’un client paye par carte, sa banque touche une partie de la commission payée par le commerçant. La clé est donc de choisir judicieusement son fournisseur.

Avec HIVE Finances dites adieu aux frais de paiement coûteux et douteux, et bonjour à la transparence des frais.

Besoin d’informations plus détaillées ? Contactez-nous, nous serons ravis de vous aider à y voir plus clair.

Dernière m.à.j. 12/04/2024.
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Paiements

Commerçant, connaissez-vous la composition du coût de chaque transaction ?

En résumé, à qui payez-vous et pour qui ?

Il est pertinent de savoir que lorsqu’une commission est versée à l’acquéreur (société détenant le terminal de paiement, dit TPE), une partie de celle-ci sera redistribuée à d’autres intervenants. La proportion de cette redistribution varie en fonction de l’acteur impliqué.

Les différents acteurs qui interviennent lors d’un paiement par carte bancaire

  • L’acquéreur : il s’agit de la société qui interroge la banque du client pour autoriser le prélèvement du montant de la transaction sur son compte. En cas d’accord, elle transfère ensuite cet argent sur le compte du commerçant. Cette société est souvent associée à la fourniture et à la gestion des terminaux de paiement.
  • Le frais de schéma : il s’agit des frais appliqués par la « marque » de la carte bancaire. Ils sont fixes lors des débits et variables lors des crédits.
  • L’interchange : il s’agit de la commission perçue par l’émetteur de la carte bancaire (ou, si vous préférez, la banque du client).

Il existe principalement deux types de cartes.

Carte de débit

(Bancontact ou Maestro belge, Visa Débit belge, Mastercard débit belge).

Pour une carte de débit, la banque émettrice de la carte (BNP-ING-KBC, etc.) percevra 0.2% du montant de la transaction, avec un plafond de 5 cents (appelé interchange).

Ensuite, il y a les frais de schéma, qui varient notamment en fonction de la taille de l’acquéreur et s’élèvent généralement à environ 1 centime.


En résumé, si vous payez :

  • 10 cents pour une transaction de 2€ : 0,4 cents sont reversés à la Banque, 1 cent à Bancontact et 8,6 cents sont reversés à l’Acquéreur.
  • 10 cents pour une transaction de 10€ : 2 cents sont reversés à la Banque, 1 cent à Bancontact et 7 cents sont reversés à l’Acquéreur.
  • 10 cents pour une transaction de 25€ : 5 cents sont reversés à la Banque, 1 cent à Bancontact et 4 cents sont reversés à l’Acquéreur.
  • 10 cents pour une transaction de 50€ : 5 cents sont reversés à la Banque, 1 cent à Bancontact et 4 cents sont reversés à l’Acquéreur.

Attention : Si le client effectue un paiement en Belgique avec une carte de type Maestro qui n’a pas été émise en Belgique, celle-ci est considérée lors de la transaction comme une carte de crédit !

Il est également important de noter que le gouvernement a décidé de réduire l’interchange (la commission de la banque du client) de 0,2 à 0,1 %, mais cette loi n’est pas encore en vigueur (au 12/04/2024).

C’est pourquoi HIVE Finances vous propose des contrats en INT++ afin de réduire les coûts des transactions par lecteur de carte bancaire inférieures à 20€.

Carte de crédit

Dans ce cas, la commission sera répartie entre trois acteurs : la banque, le réseau interbancaire (principalement Visa et Mastercard), et l’acquéreur.

Il est important de comprendre que le coût du Schème Fees (frais de la marque de la carte bancaire) va en réalité varier entre 0,06 % et 0,12 % en fonction des parts de marché de l’acquéreur (la société qui traite la transaction).

Dans notre exemple, nous utilisons un coût de 0,08 %, qui est le taux médian payé par nos clients.


Pour une transaction d’un montant de 100€, la répartition serait la suivante (nous nous limiterons aux cartes les plus répandues en Belgique et utiliserons un exemple de coûts de transactions moyens).

  • Pour une Carte Consumer (particulier) avec une commission contrat de 1% et un montant de commission de 1,00€ Répartition des coûts : 0,3€ sont reversés à la Banque du client, 0,08€ en fees Visa-Mastercard et 0,62€ sont reversés à l’Acquéreur.
  • Pour une Carte Business avec une commission contrat de 2,1% et un montant de commission de 2,10€ Répartition des coûts : 1,4€ sont reversés à la Banque du client, 0,08€ en fees Visa-Mastercard et 0,62€ sont reversés à l’Acquéreur.
  • Pour une Carte hors Europe avec une commission contrat de 2,58% et un montant de commission de 2,58€ Répartition des coûts : 1,4€ sont reversés à la Banque du client, 0,56€ en fees Visa-Mastercard et 0,62€ sont reversés à l’Acquéreur.

Contrats INTERCHANGE et autres cartes

Si votre contrat est basé sur l’INTERCHANGE + (INT +) cela signifie que seule la commission liée à la banque du client change, le reste est fixe.

En revanche si c’est un contrat en INTERCHANGE++ (INT++) cela signifie que seule la commission de l’Acquéreur (émetteur du TPE) est fixée. De plus en plus de contrats sont rédigés dans ce sens.

Il existe évidemment d’autres cartes : AMEX – JCB – Union Pay, etc. Pour les deux dernières, leur coût se situe généralement entre 2% et 3%.

En ce qui concerne Amex, généralement le commerçant doit négocier son contrat en direct. Le prix des transactions variera entre 1,2% et 2,5%, en fonction de son contrat et du volume réalisé.

En Belgique, étant donné que les volumes AMEX sont généralement faibles, les commerçants ont malheureusement peu de pouvoir de négociation.

Il est donc important de bien comparer afin de trouver le fournisseur de terminal de paiement qui vous convient ! 

Besoin d’informations plus détaillées ? Contactez-nous, nous serons ravis de vous aider à y voir plus clair.

Dernière m.à.j. 12/04/2024.

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e-commerce Paiements

Les 5 avantages incontournables de la facturation récurrente en Belgique

La Belgique, un pays européen ultra dynamique, a vu le paysage de ses transactions financières se métamorphoser avec l’essor du numérique.

La facturation récurrente est devenue un incontournable pour les entreprises belges qui cherchent à optimiser leurs transactions en ligne. Découvrons ensemble les avantages profonds de cette approche.

Voici les 5 avantages de la facturation récurrente pour les paiements en ligne en Belgique

  • Facilité et commodité : Dans un monde où le temps c’est de l’argent, la simplicité est reine. Grâce à la facturation sans tracas, une fois le paiement initial configuré, le système prend le relais. Pour les clients, cela signifie une tranquillité d’esprit, sachant que leurs abonnements en Belgique sont gérés automatiquement. Plus de soucis d’oubli ou de retard de paiement. Pour les entreprises, cela signifie moins d’interventions manuelles et donc une efficacité accrue.
  • Amélioration de la trésorerie : Dans le monde des affaires, la prévisibilité est cruciale. Avec la facturation automatique, les entreprises peuvent anticiper avec précision leurs flux de trésorerie futurs. Cette efficacité de la gestion des revenus garantit que les ressources financières sont disponibles au moment voulu, contribuant ainsi à une meilleure planification et gestion financière.
  • Réduction des coûts : Si la mise en place d’une solution de paiement en ligne sécurisé peut nécessiter un investissement initial, les bénéfices à long terme l’emportent largement. Les entreprises économisent sur les coûts de traitement manuel, les rappels de paiement et la gestion des impayés. Les économies réalisées peuvent être réinvesties pour stimuler la croissance de l’entreprise.

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  • Réduction des impayés : Les retards et les oublis de paiement peuvent causer des maux de tête financiers. Les outils de facturation récurrente minimisent ces problèmes. La régularité des débits automatiques signifie que le risque d’impayés est grandement réduit. Les solutions de paiement belges se sont adaptées à cette réalité, offrant ainsi une meilleure garantie de revenus pour les entreprises.
  • Flexibilité : Les marchés évoluent, et les entreprises doivent s’adapter. En respectant les normes de paiement européennes, la facturation récurrente en Belgique offre aux entreprises la souplesse nécessaire pour ajuster leurs offres en fonction des besoins changeants de leurs clients et de l’évolution des réglementations.

Foire Aux Questions (FAQ)

  • Pourquoi la facturation récurrente est-elle considérée comme plus efficace que les méthodes traditionnelles ? La facturation récurrente automatise le processus de facturation, réduisant ainsi le risque d’erreurs humaines et les coûts administratifs. De plus, elle assure un flux de trésorerie régulier pour les entreprises et une tranquillité d’esprit pour les clients, car ils n’ont pas à se rappeler de payer leurs factures manuellement chaque mois.
  • Comment la facturation récurrente améliore-t-elle la relation client-entreprise ? Elle renforce la confiance et la fidélité du client. En simplifiant les transactions et en évitant les retards de paiement ou les oublis, le client a une expérience positive et sans accroc. Cela amène souvent le client à continuer à utiliser un service ou un produit, ce qui augmente sa durée de vie et sa valeur pour l’entreprise.
  • La facturation récurrente est-elle sécurisée pour les paiements en ligne ? Absolument. Les systèmes de facturation récurrente utilisent des protocoles de sécurité avancés pour protéger les données des clients. En Belgique, les normes de sécurité pour les paiements en ligne sont strictes, garantissant ainsi une protection maximale des informations financières.
  • Quels types d’entreprises bénéficient le plus de la facturation récurrente en Belgique ? Bien que de nombreux types d’entreprises puissent bénéficier de la facturation récurrente, elle est particulièrement avantageuse pour les entreprises d’abonnement, telles que les fournisseurs de services de streaming, les services d’adhésion, les box mensuelles et les services logiciels en tant que service (SaaS).
  • Y a-t-il des inconvénients à la facturation récurrente ? Comme pour tout, il peut y avoir des inconvénients. Parfois, les clients peuvent ne pas se rendre compte qu’ils sont inscrits à un paiement récurrent et peuvent être surpris lorsqu’un paiement est débité. Cependant, une communication claire et transparente de la part des entreprises permet d’éviter de tels malentendus.
  • Comment les entreprises peuvent-elles intégrer la facturation récurrente dans leur modèle d’affaires ? Avec l’évolution technologique, de nombreux fournisseurs proposent des solutions de facturation récurrente faciles à intégrer. Les entreprises peuvent choisir un système adapté à leurs besoins, le configurer et commencer à profiter des avantages de cette méthode moderne de facturation.

Conclusion

La facturation récurrente a su s’imposer en Belgique non seulement comme une solution pragmatique, mais aussi comme une véritable stratégie d’avenir pour les entreprises. Elle représente un moyen optimisé de gestion financière et offre une tranquillité d’esprit tant pour les fournisseurs que pour les clients.

Dans un contexte économique où la digitalisation prend une place prépondérante, les méthodes traditionnelles de facturation peuvent sembler obsolètes et moins efficientes. En revanche, la facturation récurrente, avec sa capacité à s’adapter aux besoins fluctuants du marché et son alignement avec les attentes modernes de consommation, s’érige comme la solution du futur.

De plus, au-delà de son efficacité opérationnelle, elle renforce la relation de confiance entre le fournisseur et le client. Le client n’a plus à se soucier des dates d’échéance, et le fournisseur bénéficie d’une visibilité claire sur ses entrées financières.

La Belgique, toujours à la pointe de l’innovation, a bien saisi les enjeux et les avantages de cette méthode. Il est donc crucial pour les entreprises opérant sur ce territoire, qu’elles soient locales ou internationales, de prendre le train en marche et d’intégrer cette stratégie à leur modèle d’affaires.

En somme, adopter la facturation récurrente, c’est embrasser une vision moderne et efficace du commerce, tout en renforçant les relations avec sa clientèle.

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Comment ouvrir un compte bancaire pro malgré un compte bancaire fermé ou un refus d’ouverture

Nous écrivons cet article étant donné que nous avons eu plusieurs clients désemparés car leur banque les a mis dehors et ils ont difficile à trouver une autre banque ou encore des personnes lançant une activité mais qui ont du mal à trouver une institution banquaire qui accepte de leur ouvrir un compte pro.

Pourquoi une banque ferme le compte d’un restaurant, d’une ASBL, ou de toute autre activité légale qui ne présente à priori aucun risque ?

Il est assez difficile d’avoir une vue claire, chaque banque à sa politique, la fermeture des comptes est presque toujours décidée par le siège et malheureusement, il est inutile de se fâcher ou d’offrir des chocolats à votre personne de contact car apparemment, elle n’a aucun pouvoir pour contrer cette décision.

L’on peut supposer que la banque (ou du moins son système informatique) estime que vous n’êtes plus intéressant, ou que vous ne remplieriez plus certains « critères ».

Par exemple, des articles parut dans la presse expliquait qu’une grande banque avait exclu plusieurs ASBL et laissait supposer que c’était du à la loi encadrant la lutte contre le blanchiment d’argent qui rend ces clients compliqués à gérer (donc trop cher par rapport à ce qu’ils rapportent).

Raisons de la fermeture de votre compte bancaire professionel

Il est difficile de fournir une explication unilatérale car chaque banque possède ses propres politiques de gestion de risque.

Une explication plausible pourrait être l’évolution des réglementations liées à la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, rendant certaines catégories de clients plus difficiles à gérer.

Dans certains cas, il est possible que les établissements bancaires informent leurs clients professionnels de l’intention de clôturer leur compte bancaire si le chiffre d’affaires généré par l’activité commerciale n’atteint pas un seuil considéré comme satisfaisant.

Cette mesure est généralement mise en place pour garantir que le compte bancaire professionnel demeure un outil efficace de gestion financière tant pour le client que pour la banque elle-même.

Il est donc fortement recommandé aux entrepreneurs et aux dirigeants d’entreprise de rester attentifs aux conditions spécifiques établies par leur banque en matière de performance financière minimale.

Une communication transparente avec votre banque peut parfois permettre de comprendre les critères sur lesquels la banque se base pour évaluer la rentabilité d’un compte professionnel.

En cas de notification concernant une éventuelle fermeture de compte pour cause de chiffre d’affaires insuffisant, il est conseillé de prendre immédiatement contact avec son conseiller bancaire afin de discuter des options disponibles, qui pourraient inclure des ajustements au modèle économique, une révision du plan d’affaires ou même un changement de structure juridique de l’entreprise.

En résumé, le maintien d’un compte bancaire professionnel est probablement le plus souvent conditionné par le niveau de chiffre d’affaires réalisé et, il est dans l’intérêt des entreprises de bien comprendre les exigences de leur banque à cet égard.

Légalité de la Situation

Sur le plan juridique, une banque est effectivement en mesure de fermer un compte bancaire sans être tenue de fournir une justification détaillée à son client.

Cependant, cette action est généralement encadrée par des règles strictes et des conditions préalables définies au sein des accords contractuels entre la banque et le client.

Il est donc crucial de lire attentivement les conditions générales ainsi que toute autre documentation contractuelle lors de l’ouverture d’un compte.

Typiquement, une banque doit notifier son intention de clôturer le compte à son titulaire dans un délai spécifié, qui peut varier selon les établissements et les types de compte.

Cette période de préavis offre au client la possibilité de prendre les mesures nécessaires, telles que le transfert des fonds, la réorientation des opérations bancaires ou la recherche d’une nouvelle banque.

Dans certains cas, la légalité de la situation peut être plus complexe, notamment lorsque la fermeture du compte est susceptible d’entraîner des conséquences graves pour le client, comme des pénalités ou des difficultés financières.

En pareilles circonstances, il peut être conseillé de consulter un conseiller juridique afin de comprendre les recours possibles et d’évaluer la conformité de la démarche de la banque avec les dispositions légales en vigueur.

Il est également important de noter que, bien que la banque puisse clôturer un compte sans fournir de raison détaillée, elle ne peut pas le faire pour des motifs discriminatoires ou contraires à la législation en vigueur.

Par exemple, une fermeture ne peut pas être fondée sur des critères de race, de genre, de religion …

En résumé, même si une banque possède le droit de fermer un compte sans justification explicite, l’exercice de ce droit est soumis à un ensemble de contraintes légales et contractuelles.

Le client doit donc s’informer rigoureusement sur ses droits et ses obligations pour naviguer de manière efficace dans un tel contexte.

Solutions en cas de refus d’ouverture de compte bancaire professionnel

Si vous vous retrouvez dans une situation de refus d’ouverture de compte bancaire professionnel, voici quelques étapes à suivre :

  1. Demander une Explication écrite: Insistez pour obtenir une explication écrite de la part de votre institution bancaire.
  2. Consulter D’autres Banques: N’hésitez pas à vous tourner vers d’autres institutions financières.

Si vous n’obtenez pas de réponse favorable, vous pouvez envisager les options suivantes:

  • Médiation par la Banque nationale de Belgique (BNB): La BNB peut intervenir comme médiateur.
  • Consultation Juridique: Vous pourrez également chercher les conseils d’un avocat spécialisé en droit bancaire.

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Obstacles à l’ouverture d’un compte professionel

L’ouverture d’un compte bancaire professionnel est souvent une étape cruciale dans la création et le développement d’une entreprise.

Cependant, il existe plusieurs obstacles qui peuvent rendre ce processus difficile.

Parmi les plus courants, on trouve des exigences strictes en matière de documentation, des antécédents financiers défavorables et des contraintes liées au statut juridique de l’entreprise.

Justificatifs d’Identité et de Résidence

Les exigences en matière de documentation peuvent varier, mais il est généralement nécessaire de fournir des justificatifs d’identité et de résidence.

Antécédents Financiers

Les antécédents financiers sont un élément clé que les banques évaluent minutieusement lors de l’examen des demandes d’ouverture de comptes bancaires professionnels. L’historique de crédit est particulièrement important dans cette évaluation, car il permettra à la banque d’établir votre profil de risque.

Si vous présentez un historique de crédit négatif, plusieurs obstacles peuvent se poser lors de votre démarche pour ouvrir un compte professionnel. Les incidents de paiement, les dettes impayées, les jugements défavorables ou même le simple fait d’avoir un score de crédit faible sont autant d’éléments qui peuvent peser lourdement dans la décision de la banque.

Dans certains cas, la banque peut tout simplement refuser d’ouvrir un compte.

Dans d’autres situations, elle peut accepter la demande, mais imposer des conditions plus restrictives, telles que des frais de service plus élevés, des taux d’intérêt plus importants ou des restrictions sur les types de transactions que vous pouvez effectuer.

Il est également possible que l’établissement bancaire demande des garanties supplémentaires ou des documents justificatifs plus détaillés sur votre activité professionnelle.

Ceci dans le but de mieux évaluer la nature et le niveau du risque associé à votre profil financier.

Par exemple, la banque pourrait exiger un plan d’affaires solide, des prévisions financières ou même des garanties personnelles pour compenser le risque perçu.

Si vous êtes dans une telle situation, plusieurs options peuvent s’offrir à vous pour améliorer vos chances d’ouvrir un compte professionnel :

  1. Vous pouvez tenter de corriger les erreurs dans votre rapport de crédit si vous pensez que votre historique n’a pas été correctement rapporté.
  2. Prendre des mesures actives pour améliorer votre cote de crédit en remboursant vos dettes et en respectant vos obligations financières futures.
  3. Considérer des établissements financiers alternatifs, comme les banques en ligne ou les organismes de micro-crédit, qui peuvent être moins stricts en matière d’antécédents financiers.
  4. Engager, si celle-ci l’accepte, un dialogue ouvert avec la banque pour discuter des raisons spécifiques de votre historique de crédit négatif et des mesures que vous avez prises pour remédier à cette situation.

Statuts Juridiques d’Entreprise

En Belgique, quand vous créez une entreprise, vous devez choisir un type légal pour votre activité. Vous avez deux choix principaux : être un entrepreneur individuel ou créer une société.

Si vous optez pour être un entrepreneur individuel, vous pouvez commencer rapidement sans créer une nouvelle entité légale.

Toutefois, toutes les responsabilités de l’entreprise vous reviennent directement.

Cela signifie que vous pouvez utiliser votre compte bancaire personnel pour les affaires, mais ce n’est pas conseillé.

Pour un compte professionnel, vous devrez fournir vos papiers personnels et des preuves d’activité commerciale.

Si vous créez une société, vous devrez choisir une forme spécifique, comme une SPRL, une SA, une ASBL, une SC.

Cela crée une séparation entre votre argent personnel et celui de l’entreprise.

Chaque type de société a ses propres règles concernant la responsabilité et la gestion.

Après avoir créé la société, vous pourrez ouvrir un compte bancaire professionnel en fournissant les documents de la société..

FAQ sur compte bancaire fermé ou refus d’ouverture.

Q : Quels sont les documents habituellement requis pour l’ouverture d’un compte bancaire professionnel ?

R : Les documents requis peuvent varier selon les institutions financières, mais ils incluent généralement une pièce d’identité officielle, un justificatif de domicile ou de siège social, et un numéro d’identification fiscale.

Q : Existe-t-il des alternatives si mon historique de crédit est mauvais ?

R : Oui, certains établissements financiers proposent des comptes spécifiques pour ceux qui ont des antécédents de crédit défavorables. Cependant, ces comptes peuvent être assortis de conditions plus restrictives ou de frais plus élevés.

Q : Est-il plus difficile d’ouvrir un compte professionnel si mon entreprise est une start-up ?

R : Les start-ups peuvent en effet faire face à des défis supplémentaires, notamment en raison de leur manque d’historique financier. Néanmoins, certaines banques offrent des services spécialement conçus pour les jeunes entreprises, qui peuvent faciliter le processus.

Quel impact le statut juridique de mon entreprise a-t-il sur l’ouverture d’un compte ?

Le statut juridique peut affecter les types de comptes auxquels vous pouvez prétendre et les documents supplémentaires qui pourraient être nécessaires. Par exemple, une association peut nécessiter l’approbation de plusieurs membres du conseil pour ouvrir un compte.

Puis-je ouvrir un compte professionnel en ligne ?

De nombreuses banques permettent aujourd’hui l’ouverture de comptes professionnels en ligne, bien que les exigences documentaires restent les mêmes. Assurez-vous de disposer de toutes les pièces justificatives en format numérique avant de commencer le processus.

Quel est le délai habituel pour l’ouverture d’un compte professionnel ?

Le délai peut varier considérablement en fonction de la banque et de la complexité de votre situation. En général, il faut compter entre quelques jours et plusieurs semaines.

Dois-je maintenir un solde minimum sur mon compte professionnel ?

Certaines banques exigent un solde minimum pour éviter des frais de tenue de compte. Consultez les conditions générales de votre banque pour plus de détails.

Conclusion

Faire face à la fermeture d’un compte bancaire professionnel ou à un refus d’ouverture peut être une expérience frustrante.

Cependant, en comprenant les politiques et réglementations bancaires ainsi qu’en prenant les mesures appropriées, il est possible de naviguer avec succès dans ce processus complexe.

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Les 5 tendances du paiement en ligne pour 2023

La pandémie de COVID-19 a eu un impact significatif sur nos vies, transformant nos habitudes et nos comportements.

Parmi ces changements, l’essor du commerce en ligne est sans doute l’un des plus remarquables.

En réponse à cette évolution, les tendances du paiement en ligne pour 2023 reflètent une accélération de la numérisation et une adoption croissante des technologies innovantes.

Voici 5 tendances du paiement en ligne pour 2023

Voici un aperçu détaillé des cinq tendances majeures à surveiller cette année.

1. L’essor des portefeuilles électroniques

Les portefeuilles électroniques, ou e-wallets, sont des solutions de paiement numérique qui permettent aux utilisateurs de réaliser des transactions en ligne rapidement et en toute sécurité.

Avant la pandémie, ces outils gagnaient déjà en popularité, mais la crise sanitaire a accéléré cette tendance.

En effet, face aux restrictions et aux préoccupations sanitaires, de plus en plus de consommateurs ont opté pour les achats en ligne et ont trouvé dans les e-wallets une solution pratique et sûre pour effectuer leurs paiements.

En 2023, nous pouvons nous attendre à voir une croissance continue de l’utilisation des portefeuilles électroniques.

Ces outils offrent une expérience utilisateur fluide et sécurisée, et sont de plus en plus intégrés aux plateformes de commerce électronique.

À mesure que de nouvelles fonctionnalités et capacités seront ajoutées, les e-wallets deviendront une partie encore plus intégrante de l’écosystème du paiement en ligne.

2. L’identification et l’authentification biométriques

L’identification et l’authentification biométriques, qui utilisent des caractéristiques physiques uniques telles que les empreintes digitales ou la reconnaissance faciale pour vérifier l’identité d’un utilisateur, sont en train de se développer dans le domaine du paiement en ligne.

Selon une enquête, un tiers des entreprises estiment que cette technologie sera la principale tendance en matière de commerce et de paiement en 2023.

L’authentification biométrique offre un niveau de sécurité supérieur aux méthodes traditionnelles telles que les mots de passe ou les codes PIN.

En outre, elle offre une expérience utilisateur plus fluide, car elle élimine la nécessité de se souvenir de multiples identifiants.

En 2023, nous verrons peut être une adoption croissante de cette technologie, à la fois pour les transactions en ligne et hors ligne.

3. L’utilisation des données de paiement dans la lutte contre la fraude et le blanchiment de capitaux (FRAML)

La lutte contre la fraude et le blanchiment de capitaux (FRAML) est une préoccupation majeure pour les entreprises et les institutions financières.

En 2023, la convergence de ces efforts devrait entraîner une focalisation sur les données de paiement.

Le partage d’informations relatives aux paiements entre les fonctions commerciales permet de détecter plus rapidement les activités suspectes et de renforcer la sécurité des transactions.

Le développement de technologies d’analyse de données avancées et l’intelligence artificielle devrait permettre d’améliorer la précision de la détection de la fraude et du blanchiment de capitaux.

L’objectif étant de permettre aux entreprises de réagir plus rapidement aux menaces et ainsi, réduire les risques associés à ces activités criminelles.

Cette tendance vers une utilisation accrue des données de paiement dans le cadre de la lutte contre la fraude et le blanchiment de capitaux sera probablement une caractéristique clé du paysage des paiements en 2023.

4. L’intégration des expériences de paiement en ligne et hors ligne

La pandémie a conduit à un essor du commerce en ligne, mais avec la réouverture progressive des magasins physiques, nous assistons à une évolution des préférences de paiement.

Les consommateurs cherchent désormais à intégrer les meilleurs tendances du paiement en ligne et hors ligne, ce qui a conduit à l’émergence de nouvelles tendances.

A ce sujet, savez vous que HIVE Finances est à même de vous proposer une approche globale avec un cout de transaction identique que celle-ci soit faite en ligne ou dans votre commerce physique

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En 2023, nous verrons probablement le début du développement solutions de paiement hybrides, qui permettent aux consommateurs de passer facilement du numérique au physique et vice versa.

Par exemple, le paiement sans contact via mobile ou l’utilisation de codes QR dans les magasins physiques sont des tendances qui devraient se renforcer.

Ces solutions offrent une expérience de paiement plus flexible et personnalisée, répondant ainsi aux attentes des consommateurs modernes.

5. L’augmentation de l’utilisation de la Réalité Augmentée (RA) dans le commerce électronique

La Réalité Augmentée (RA) est une technologie qui superpose des éléments virtuels à notre environnement réel, offrant ainsi une expérience immersive et interactive.

Cette technologie a déjà été adoptée par de grandes marques, mais en 2023, son utilisation devrait se développer dans le commerce électronique, y compris parmi les petites entreprises [1].

La RA offre de nouvelles possibilités pour améliorer l’expérience d’achat en ligne.

Elle permet par exemple aux clients de visualiser des produits dans leur environnement réel avant de les acheter.

Par conséquent, l’augmentation de l’utilisation de la RA dans le commerce électronique pourrait également influencer les tendances du paiement en ligne, en offrant de nouvelles opportunités pour intégrer le processus de paiement dans l’expérience d’achat en RA.

FAQ: Les tendances du paiement en ligne pour 2023

  • 1. Qu’est-ce qu’un portefeuille électronique (e-wallet) ? Un portefeuille électronique, ou e-wallet, est une solution de paiement numérique qui permet aux utilisateurs d’effectuer des transactions en ligne rapidement et en toute sécurité. Il s’agit d’une application ou d’un service en ligne qui stocke les informations de paiement d’un utilisateur, telles que les données de carte de crédit ou les coordonnées bancaires, de manière sécurisée.
  • Pourquoi l’utilisation des portefeuilles électroniques est-elle en croissance en 2023 ? L’utilisation des portefeuilles électroniques connaît une croissance en raison de plusieurs facteurs. Tout d’abord, la pandémie de COVID-19 a entraîné une augmentation des achats en ligne, et les e-wallets offrent une solution pratique et sûre pour effectuer des paiements en ligne. De plus, ces outils offrent une expérience utilisateur fluide et sécurisée, ce qui les rend attrayants pour les consommateurs. Enfin, les portefeuilles électroniques sont de plus en plus intégrés aux plateformes de commerce électronique, facilitant ainsi leur utilisation.
  • Qu’est-ce que l’identification et l’authentification biométriques dans le domaine du paiement en ligne ? L’identification et l’authentification biométriques utilisent des caractéristiques physiques uniques, telles que les empreintes digitales ou la reconnaissance faciale, pour vérifier l’identité d’un utilisateur lors d’une transaction en ligne. Cette technologie offre un niveau de sécurité supérieur aux méthodes traditionnelles telles que les mots de passe ou les codes PIN. De plus, elle offre une expérience utilisateur plus fluide en éliminant la nécessité de se souvenir de multiples identifiants.
  • Comment les données de paiement sont-elles utilisées dans la lutte contre la fraude et le blanchiment de capitaux en 2023?Les données de paiement sont de plus en plus utilisées dans la lutte contre la fraude et le blanchiment de capitaux. Les entreprises et les institutions financières partagent des informations relatives aux paiements afin de détecter plus rapidement les activités suspectes et de renforcer la sécurité des transactions. Grâce au développement de technologies d’analyse de données avancées et d’intelligence artificielle, il est possible d’améliorer la précision de la détection de la fraude et du blanchiment de capitaux, permettant aux entreprises de réagir plus rapidement aux menaces.
  • Comment la réalité augmentée (RA) est-elle utilisée dans le commerce électronique en 2023 ? La réalité augmentée (RA) est une technologie qui superpose des éléments virtuels à notre environnement réel, offrant ainsi une expérience immersive et interactive. En 2023, la RA sera de plus en plus utilisée dans le commerce électronique, y compris parmi les petites entreprises. Elle permet aux clients de visualiser des produits dans leur environnement réel avant de les acheter, offrant ainsi une expérience d’achat plus engageante et personnalisée. Cette utilisation croissante de la RA peut également influencer les tendances de paiement en ligne en inté

Conclusion

En conclusion, l’année 2023 s’annonce riche en innovations qui toucherons aussi le domaine du paiement en ligne.

Ces tendances du paiement en ligne, iront de l’essor des e-wallets à l’adoption de l’authentification biométrique, en passant par l’intégration des tendances du paiement en ligne et hors ligne, témoignent de l’évolution très rapide de l’écosystème des paiements à l’ère numérique.

Il est par contre primordial de faire les bons choix afin de ne pas prendre de retard et en même temps de se méfier des effets d’annonces (toute personne qui lance une nouvelle technologie espère devenir un acteur incontournable du marché).

Il est donc important de garder à l’esprit que les nouvelles technologies qui n’atteignent pas un certain volume ou pourcentage de part de marché risquent de devenir très onéreuses ou seront abandonnées à court, moyen, ou long terme.

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Consultez-nous afin que nous vous proposions une solution de paiement en ligne sécurisé pour votre site d’e-commerce

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Pourquoi vos prix dépendent du nombre de vos transactions en débit et de votre chiffre d’affaires en crédit ?

Le traitement d’un paiement par carte engendre des coûts pour l’acquéreur. Ceux-ci se répartissent entre la gestion administrative du contrat, la couverture des risques et un coût informatique.

Le premier est fixe, tandis que les deux autres sont liés au client et au volume.

  • Pour un client faisant 10.000.000 transactions par an, l’acquéreur peut diviser ses coûts fixes par 10.000.000 et les risques sont répartis sur un nombre plus élevé de transactions.
  • Pour un client faisant 1000 transactions par an, l’acquéreur doit diviser ses coûts fixes par 1.000, les risques sont donc moins répartis.

C’est aussi pour cette raison que beaucoup d’acteurs demandent des suppléments pour les transactions non sécurisées.

HIVE Finances a choisi la solution inverse, en plus de prix très bas, elle vous propose une plateforme pour les paiements par internet incluant gratuitement le 3DS (sécurisation des transactions) à l’ensemble de ses clients.

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Coût de paiement pour les commerçants

Quoi qu’on en dise, un paiement par carte est loin d’être gratuit. Il offre cependant toute une série d’avantages : 

  • Moins de vol par le personnel
  • Gestion du cash facilitée (plus besoin de vous rendre à la banque avec l’argent de la recette)
  • Pas de risque d’acceptation de faux billets
  • Forte diminution des risques de braquage, vol avec violence…

Le coût du paiement par carte varie selon le type de carte. Il existe deux types de catégorie de paiement par carte :

  • Paiement via Internet
  • Paiement via un terminal de paiement 

Dans le cas d’un paiement par internet, le paiement se fait par le biais d’une plateforme de paiement. En d’autres termes, c’est grâce à cette passerelle que les marchands peuvent accepter l’ensemble des paiements sur leur site web. C’est une plateforme qui permet aux internautes d’être dirigés vers un environnement sécurisé.

Celle-ci peut être gratuite ou payante. Dans le 1er cas, le fournisseur de la plateforme récupèrera généralement ses frais de fonctionnement, via un prix par transaction plus élevé pour commerçant.

Dans le cas d’un paiement via un terminal de paiement, deux possibilités s’offrent au commerçant : 

1. Achat du terminal + une maintenance mensuelle de l’appareil à charge du commerçant + éventuellement, en fonction du type d’appareil, la redevance mensuelle d’une carte SIM.
2. Location d’un terminal comprenant une maintenance mensuelle et incluant la redevance carte SIM éventuelle.

Il existe également sur le marché, des « boitiers lecteurs de cartes » qui interagissent avec un GSM. Ceux-ci jouent alors le même rôle qu’un terminal de paiement classique. Ce boitier offre un coût fixe réduit. Toutefois, il faut savoir que le coût des transactions est beaucoup plus élevé que sur un terminal classique.

QUELS SONT LES COÛTS DES TRANSACTIONS EN FONCTION DES DIFFÉRENTS TYPES DE CARTES ?

Pour les cartes de débit (Bancontact, Maestro), le montant (appelé commission) réclamé au commerçant est fixe. Cependant, dans certains cas, il peut varier en fonction du montant de la transaction. Certains fournisseurs vont aussi demander un forfait fixe par terminal qui selon les cas, inclura ou non des transactions.

ATTENTION, on trouve parfois, des coûts calculés en pourcentage. Même si cela peut paraître plus avantageux, ce n’est que peu souvent le cas. En définitive, la transaction sera plus onéreuse qu’avec un fixe, essentiellement pour les transactions dont le montant est plus élevé. Ce type de coût se retrouve majoritairement pour les transactions via Internet.

Pour les cartes de crédits, La commission sera toujours calculée en pourcentage. Celui-ci varie en fonction : 

  • De votre contrat avec l’acquéreur (un acquéreur est une institution financière à caractère bancaire qui est chargée de la collecte d’argent dans un modèle de vente via terminal physique ou de vente à distance).
  • En fonction du volume de vos transactions (si le volume des transactions du commerçant est de 100.000 euros/jour ou de 100.000 euros/an, les prix seront très sensiblement différents).
  • En fonction du type de carte utilisé.

Exemple : Une MasterCard consumer Belge peut coûter entre 0,50% et 1.2% alors qu’une Mastercard hors Europe peut coûter jusqu’à 2,8%.

Précisons également que certains acquéreurs demandent un supplément si la transaction n’est pas sécurisée (pas de code pin à introduire).

HIVE Finances vous propose un coût compétitif pour vos transactions tant pour les cartes de débit que pour les cartes de crédit !

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Coût de paiement pour les particuliers

Oui, nous avons tous tendance à croire que nous ne payons aucun frais lorsque nous achetons un produit ou un service, que ce soit par carte bancaire ou en cash. Cela dit, il y a bien un impact sur notre consommation, même si celui-ci est indirect.

Savez-vous ce que coûte exactement un paiement en Belgique ?

Il faut savoir que :

Le retrait d’argent sur votre compte est de manière « indirecte » soumis à un coût annuel fixé par votre banque. Ce coût varie en fonction de l’institution financière choisie. On l’estime généralement entre 20 et 50 euros par an.

Concernant le paiement de vos achats par carte bancaire, il existe de plus en plus de solutions digitales, les paiements par carte en magasin et par internet se sont naturellement généralisés. 

Beaucoup de banques vont vous demander un coût fixe qui englobera aussi la mise à disposition d’une ou plusieurs cartes de débit (Bancontact) et de crédit. Cependant, que vous fassiez un paiement par an ou un paiement par jour, cela ne fera pas évoluer le coût d’utilisation de votre carte. Toutefois, Il est déjà arrivé que certaines banques rétribuent leurs clients lorsqu’ils utilisent leur carte. Dans ce cas, il s’agit bien souvent d’une action commerciale limitée dans le temps où la banque cède une partie de la commission encaissée sur les paiements afin d’attirer de nouveaux clients.

Il est important de prendre conscience que chaque achat correspond à un coût de paiement dans votre institution financière !

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L’histoire de la carte de crédit

Le précurseur de la carte universellement acceptée comme carte de crédit était au départ une carte de marchands.

Celle-ci a fait son apparition dans les années 1920. Elle était alors émise uniquement par les hôtels, les compagnies pétrolières ou les grands magasins et permettait aux titulaires de tenir un compte de crédit et aux marchands de tenir un registre systématique des achats effectués.

Mais la carte universelle de crédit est réellement apparue en 1949, lorsque trois américains, Alfred Bloomingdales, Frank McNamara et Ralph Snyder ont fondé la société connue sous le nom de Diners ClubLeur entreprise agissait comme un intermédiaire entre les consommateurs et le marchand. 

Il n’existait aucun précédent dans ce domaine avant cela. Par conséquence, il fut difficile pour la Diners Club card de s’imposer d’autant que les hôtels, les compagnies pétrolières et les grandes chaines de magasins avaient déjà émis leurs propres cartes de crédit. Persuader les petits marchands de prendre part au système ne fut donc pas chose facile, ceux-ci craignant qu’avoir une compagnie de carte de crédit qui agisse comme un intermédiaire affaiblisse leur relation client.

 En 1958, American Express et Carte Blanche, la carte de crédit de la chaîne d’hôtel Hilton, entrent également sur le marché de la carte de crédit.

L’arrivée de ces trois cartes sur le réseau national a fait en sorte que l’utilisation de la carte de crédit se généralise sur tout le continent américain.

A la même période, La Bank of America fait son apparition sur le marché et «la BankAmericard » est autorisée à travers tous les Etas Unis.

 En 1976, la BankAmericard va donner à sa carte le nom de « VISA » afin de donner à son affaire une saveur internationale et un nom de marque facilement prononçable. 

En réponse à l’expansion, un certain nombre de grandes banques se réunissent alors pour lancer un deuxième système de carte à l’échelle nationale connu aujourd’hui sous le nom de MasterCard. Depuis cette période, le marché des cartes de crédit n’a pas beaucoup changé.

Les cartes de crédits apparaissent quasi en même temps en Europe, mais celles-ci reçoivent un intérêt peu enthousiaste.

Le développement de la seconde carte la plus utilisée, la carte de débit, commence plusieurs décennies après le lancement de la carte de crédit.
Le crédit n’est donc plus considéré comme un simple moyen de paiement, mais bien comme un produit réel qui pourrait être vendu et que nous utilisons tous aujourd’hui. 

Lors de vos achats quotidiens, combien de fois payez-vous encore avec des billets de banque ?
Et si, dans ce cas, vous aviez eu le choix entre payer en espèce ou effectuer le paiement par un autre moyen que la monnaie papier, l’auriez-vous fait ? 

Etant donné que la technologie ne cesse d’évoluer et que les paiements électroniques prennent une place de plus en plus importante, HIVE Payments a l’ambition de vous servir. Elle est à même de vous trouver une solution adaptée afin de vous accompagner pour que votre système de paiement évolue et reste au plus près de vos besoins.